Le journaliste Robin Leach parle de Michael

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Après
50 ans passés dans le domaine des médias et du divertissement, Robin
Leach ne ralentit pas. Certains se souviendront de ses dix ans passés à Lifestyles of the Rich and Famous. Aujourd’hui, Robin Leach est basé dans la capitale mondiale du divertissement, Las Vegas, où il est journaliste pour le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Chris
Yandek : Peut-être pouvez-vous me dire si c’est vrai ou pas, mais j’ai
lu quelque part que vous craigniez que les concerts que Michael Jackson
devait exécuter à l’O2 Arena avant sa mort pouvaient justement
contribuer à ce qu’il n’en revienne pas vivant. Est-ce vrai et si oui,
comment en avez-vous tiré cette conclusion ? Est-ce vrai, ou est-ce faux
?

Non. Vous savez, tout ça est tellement dingue, avec
la façon dont chacun, vous savez, veut avoir sa part du gâteau. Regardez
Kenny Ortega, qui était le metteur en scène et le chorégraphe de ce
spectacle, il vous dira sans équivoque que Michael était prêt à faire
les concerts de l’O2. Je pense qu’en privé, beaucoup de gens vous diront
qu’ils étaient très proches de Michael à ce moment-là, et qu’il avait
extrêmement peur de la nature ambitieuse de ce que j’appellerais une
course sur le long terme.

Il est de notoriété publique qu’il
avait besoin de liquidités immédiates, plutôt que d’avoir de l’argent
bloqué dans des investissements douteux. L’O2 Arena aurait donc été d’un
point de vue financier une vraie bouée de sauvetage pour lui. Il avait
besoin de faire ça pour des raisons économiques. Il voulait aussi faire
le spectacle, et le concert promettait d’être incroyable, tout le monde
en était très heureux. Mais vous savez, quand on n’a pas fait de scène
depuis deux, trois, quatre ans, et quand on s’inquiète du moindre détail
et qu’on doit gérer quelque chose d’une telle ampleur, ça entraîne
quelques nuits blanches. Ca cause de l’anxiété. Ca conduit à s’inquiéter
au-delà de la norme qui pourrait être comprise par les gens ordinaires,
la pression qu’on se met sur les épaules pour réaliser un spectacle de
cette envergure est incroyable.

Donc malheureusement, vous savez
comment ça se passe dans le show business, les gens se tournent vers les
médicaments pour soulager leur inquiétude, leur anxiété et leur manque
de sommeil. Il est assez bien connu que Michael était malheureusement
hypocondriaque et qu’il avait une armée de gens autour de lui à
Hollywood qui lui prescrivaient discrètement des médicaments, des
narcotiques ou des produits pharmaceutiques.

C’est ce qu’on peut
appeler un échange de bons procédés, où on a un médecin qui a
désespérément besoin de travailler et de gagner de l’argent, et un
patient qui a besoin de se faire prescrire des médicaments qui serviront
à résoudre ses problèmes émotionnels. Vous savez, quand on a tous ces
ingrédients et qu’on y ajoute de la négligence ou un excès d’indulgence,
on crée une situation qui conduit tragiquement à la mort.


Avez-vous quelques anecdotes sur Michael ?

Je
me souviens avoir dîné avec lui ici à Las Vegas à l’hôtel Wynn. C’était
un restaurant chinois qu’il aimait particulièrement, et où il pouvait
entrer incognito par l’entrée de service. Un soir, il était en train de
dîner avec Kenny Ortega et Nigel Lythgoe, qui dirigeait 19
Entertainement à Londres. C’est au cours de ce dîner qu’ils ont évoqué
pour la première fois le retour de Michael sur scène en tournée ou du
moins en prestation live.

J’étais dans ce restaurant ce soir-là,
tout à fait par hasard. Mais étant dans le milieu depuis une
cinquantaine d’années, je les connaissais tous les trois. Je connaissais
Michael. Je connaissais Kenny. J’avais rencontré Nigel un certain
nombre de fois. J’étais partenaire à l’époque de Star Search, qui est en
quelque sorte l’ancêtre d’American Idol. J’ai donc été invité à les
rejoindre à leur table, ce que j’ai fait, et Michael était de très bonne
humeur. Il avait hâte de se remettre au travail. Il avait hâte de
mettre un spectacle sur pied. Je suis certain que c’est au terme de
cette soirée avec Kenny et Nigel qu’il a décidé de s’engager avec AEG
pour l’O2 Arena de Londres.


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Le journaliste Robin Leach parle de Michael......

(traduction par Pretty Young Cat du MJfrance)

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Après 50 ans passés dans le domaine des médias et du divertissement, Robin Leach ne ralentit pas. Certains se souviendront de ses dix ans passés à Lifestyles of the Rich and Famous. Aujourd’hui, Robin Leach est basé dans la capitale mondiale du divertissement, Las Vegas, où il est journaliste pour le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Chris Yandek : Peut-être pouvez-vous me dire si c’est vrai ou pas, mais j’ai lu quelque part que vous craigniez que les concerts que Michael Jackson devait exécuter à l’O2 Arena avant sa mort pouvaient justement contribuer à ce qu’il n’en revienne pas vivant. Est-ce vrai et si oui, comment en avez-vous tiré cette conclusion ? Est-ce vrai, ou est-ce faux ?

Non. Vous savez, tout ça est tellement dingue, avec la façon dont chacun, vous savez, veut avoir sa part du gâteau. Regardez Kenny Ortega, qui était le metteur en scène et le chorégraphe de ce spectacle, il vous dira sans équivoque que Michael était prêt à faire les concerts de l’O2. Je pense qu’en privé, beaucoup de gens vous diront qu’ils étaient très proches de Michael à ce moment-là, et qu’il avait extrêmement peur de la nature ambitieuse de ce que j’appellerais une course sur le long terme.

Il est de notoriété publique qu’il avait besoin de liquidités immédiates, plutôt que d’avoir de l’argent bloqué dans des investissements douteux. L’O2 Arena aurait donc été d’un point de vue financier une vraie bouée de sauvetage pour lui. Il avait besoin de faire ça pour des raisons économiques. Il voulait aussi faire le spectacle, et le concert promettait d’être incroyable, tout le monde en était très heureux. Mais vous savez, quand on n’a pas fait de scène depuis deux, trois, quatre ans, et quand on s’inquiète du moindre détail et qu’on doit gérer quelque chose d’une telle ampleur, ça entraîne quelques nuits blanches. Ca cause de l’anxiété. Ca conduit à s’inquiéter au-delà de la norme qui pourrait être comprise par les gens ordinaires, la pression qu’on se met sur les épaules pour réaliser un spectacle de cette envergure est incroyable.

Donc malheureusement, vous savez comment ça se passe dans le show business, les gens se tournent vers les médicaments pour soulager leur inquiétude, leur anxiété et leur manque de sommeil. Il est assez bien connu que Michael était malheureusement hypocondriaque et qu’il avait une armée de gens autour de lui à Hollywood qui lui prescrivaient discrètement des médicaments, des narcotiques ou des produits pharmaceutiques.

C’est ce qu’on peut appeler un échange de bons procédés, où on a un médecin qui a désespérément besoin de travailler et de gagner de l’argent, et un patient qui a besoin de se faire prescrire des médicaments qui serviront à résoudre ses problèmes émotionnels. Vous savez, quand on a tous ces ingrédients et qu’on y ajoute de la négligence ou un excès d’indulgence, on crée une situation qui conduit tragiquement à la mort.


Avez-vous quelques anecdotes sur Michael ?

Je me souviens avoir dîné avec lui ici à Las Vegas à l’hôtel Wynn. C’était un restaurant chinois qu’il aimait particulièrement, et où il pouvait entrer incognito par l’entrée de service. Un soir, il était en train de dîner avec Kenny Ortega et Nigel Lythgoe, qui dirigeait 19 Entertainement à Londres. C’est au cours de ce dîner qu’ils ont évoqué pour la première fois le retour de Michael sur scène en tournée ou du moins en prestation live.

J’étais dans ce restaurant ce soir-là, tout à fait par hasard. Mais étant dans le milieu depuis une cinquantaine d’années, je les connaissais tous les trois. Je connaissais Michael. Je connaissais Kenny. J’avais rencontré Nigel un certain nombre de fois. J’étais partenaire à l’époque de Star Search, qui est en quelque sorte l’ancêtre d’American Idol. J’ai donc été invité à les rejoindre à leur table, ce que j’ai fait, et Michael était de très bonne humeur. Il avait hâte de se remettre au travail. Il avait hâte de mettre un spectacle sur pied. Je suis certain que c’est au terme de cette soirée avec Kenny et Nigel qu’il a décidé de s’engager avec AEG pour l’O2 Arena de Londres.

sources: MJfrance

Je me suis permis de fusionner ma Starlove !!! Sorry !!!

tu as bien fait ma Nini ...merci !

j'ai l'impression que ce Journaliste est assez objectif dans ces propos ....

et je pense comme toi Nini que Michael même si il avait peur de la tache qui lui incombait pour ce spectacle fabuleux et bien This Is it allait être plus que GRANDIOSE et Michael c'est pris au jeu et le connaissant méticuleux et perfectionniste dans son art ,ainsi que désireux d'offrir le meilleur a ses Fans alors évidemment que le Stresse l'a rattrapé et ce surtout que A E G ne lui ont pas laissé assez de temps nom de xxxxx!!!!

MICHAEL ON T'AIME A L'INFINI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je pense que le journaliste a bien analysé le problème en effet !!!

Je pense qu'effectivement Michael avait hâte de remonter sur scène pr revoir ces fans et se donner à fond dans ces spectacles! Mais tant de dates ça faisait trop pr lui! A 50 ans et la carrière qu'il a eu ça fatigue! Michael aurait tenu le coup mais pr qq dates! Il se donnait tellement à fond à chaque fois que 50 ça faisait trop et il le savait lui même qu'il ne tiendrait pas le coup!

Oui je trouve aussi ce journaliste assez objectif dans ses propos !

Je crois comme vous que Michael s'était décidé à faire ce spectacle ! En grand artiste qu'il est, c'était aussi pour lui un moyen de terminer la scène en beauté ! ça devait être sa dernière tournée, et donc il a dû subir une pression énorme, un stress que lui-même devait se mettre car perfectionniste, envie de ne pas décevoir le public, de créer l'événement etc.. ! Et un stress que AEG n'a pas fait faiblir vu les répétition soutenues qu'il avait, le fait qu'ils ne le lâchaient pas etc. Liline je suis d'accord avec toi: 50 dates c'était trop même avec du temps entre deux shows pour se reposer ! Michael est un performer, il nous l'a prouvé mais quand il a fait ses tournées comme le Bad Tour, le Dangerous Tour etc et qu'il était plus jeune, c'était déjà exténuant pour lui, alors là, même en bonne santé, ça aurait été très dur pour lui.. !

Merci les girls pour ces infos !